Aménageurs

12 Bonnes raisons pour y aller

Un modèle économique de production de l’habitat qui contribue à en faire un circuit court de l’accès au logement pour tous

 

 

 

 

 

Un mode de vie plus écoresponsable, animé par la gestion coopérative du quartier et de l’habitat

 

 

 

Une empreinte urbaine et environnementale maitrisée prenant en compte les enjeux de la transition climatique

  1. Des modes de gouvernance de la ville qui contribuent à la démocratie participative.
  2. Une démarche citoyenne issue du terrain, porteuse d’affirmation de responsabilité sociale et écologique, d’ouverture à différentes cultures et situations sociales, l’habitat participatif aspire à articuler co-construction, comportements individuels et collectifs, là où les démarches de concertation descendantes ont trop souvent échouées.
  3. Le groupe d’habitants est partie prenante du projet urbain, de la conception à la livraison.
  4. Des montages novateurs en en accession sociale et en Bail Réel Solidaire : parcours résidentiel ascendant, mixité sociale au sein des bâtiments, réponse aux exigences SRU.
  5. Coûts de gestion et d’entretien réduits : la fragilisation de certains locataires ou accédants dans des projets incluant de la mixité sociale incite les maîtres d’ouvrage à rechercher des modalités d’économies.
  6. Prévention de la dégradation des copropriétés : La participation des citoyens à la conception, à la transformation et à la gestion de la ville facilite l’appropriation, les habitants ne sont pas seulement logés, ils « habitent » également leur quartier et leur logement.
  7. Au sein de l’habitat participatif, de futurs voisins, ouverts à la mixité générationnelle et sociale, se mobilisent pour contribuer aux solidarités entre voisins et entre habitants du quartier.
  8. L’habitat participatif dynamise les parcours résidentiels en ouvrant l’accès à la propriété aux locataires du parc social – accession sociale à coût modéré – et en libérant des places dans le parc social.
  9. Plus de vingt ans de cohabitation dans les opérations existantes, ont démontré l’impact sur la vie sociale des quartiers de ces voisins porteurs de solidarités citoyennes et de projets associatifs.
  10. Optimisation de l’utilisation des sols là où la pression foncière est forte : les habitants acceptent des densités bâties plus fortes en privilégiant des organisations spatiales fondées sur le partage de l’espace.
  11. Opportunités de construction de la ville sur la ville : projets en quartiers prioritaires de la ville, restructuration de bâtiments de bureau ou de logement, rénovation énergétique de copropriété.
  12. Renouveau des formes architecturales et intégration urbaine maitrisée : les aspirations écologiques des habitants et la pratique d’espaces partagés permettent l’émergence de nouvelles formes architecturales, prenant en compte une vision globale des enjeux environnementaux (bâtiment passif ou à énergie positive, constructions saines et matériaux bio- sourcés).

Témoignage

J'adore l'habitat participatif

« Pour CAHP-IDF, c’est la diversité des projets d’habitat participatif qui font la force de ce mouvement »

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